Le Territoire

Périmètres du Syndicat Mixte Affluents Nord Val de Loire

41 communes 

106.000 habitants

650 km²

480 km de cours d’eau

Membres du Syndicat

Le Syndicat Mixte des Affluents Nord Val de Loire (ANVAL) est composé de plusieurs collectivités locales :

« Tours Métropole Val de Loire », pour tout ou partie des communes de Chanceaux-sur-Choisille, Fondettes, Luynes, La Membrolle-sur-Choisille, Mettray, Notre-Dame d’Oé, Parçay-Meslay, Rochecorbon, Saint-Cyr-sur-Loire, Saint-Etienne-de-Chigny et Tours

« Communauté de Communes Touraine Ouest Val de Loire », pour tout ou partie des communes d’Ambillou, Avrillé-les-Ponceaux, Cinq-Mars-la-Pile, Cléré-les-Pins, Continvoir, Coteaux-sur-Loire, Courcelles-de-Touraine, Hommes, Langeais, Mazières-de-Touraine, Restigné, Savigné-sur-Lathan et Souvigné

« Communauté de Communes Gâtine-Racan », pour tout ou partie des communes de Beaumont-Louestault, Cérelles, Charentilly, Marray, Neuillé-Pont-Pierre, Pernay, Rouziers-de-Touraine, Saint-Antoine-du-Rocher, Saint-Roch, Semblançay et Sonzay

« Communauté de Communes Touraine Est-Vallées », pour tout ou partie des communes de Monnaie, Reugny et Vouvray

« Communauté de Communes Castelrenaudais », pour tout ou partie des communes de Crotelles, Nouzilly et Saint-Laurent-en-Gâtines

Statuts

Le Syndicat Mixte des Affluents Nord Val de Loire (ANVAL) a été créé le 1er janvier 2019 par fusion des quatre anciens Syndicats de rivières : Bédoire, Bresme, Choisille et Roumer.

L’ANVAL poursuit ainsi les dynamiques engagées par les anciennes structures en apportant une cohérence dans l’exercice des compétences dans les différents domaines de l’environnement (eau, biodiversité, etc.) afin de préserver ou de restaurer la qualité des cours d’eau et d’assurer de façon transversale une gestion équilibrée et durable de la ressource en eau.

Les missions de l’ANVAL

Remédier aux dysfonctionnements que subissent nos cours d’eau, pour atteindre les objectifs fixés par la Directive Cadre européenne sur l’Eau (DCE), à savoir rétablir ou maintenir « le bon état des milieux aquatiques ».

Pour cela plusieurs problématiques sont à résoudre sur le territoire :

– Dégradation du lit : restauration par recharge en matériaux minéraux, restauration du cours naturel, réouverture de bras.

– Dégradation des berges : lutte contre les espèces invasives (animales et végétales), installation de clôtures et création d’abreuvoirs (bovins, chevaux), bonnes pratiques, zones de non traitement.

– Manque d’entretien de la végétation des berges : rappels des obligations et conseils d’entretien aux propriétaires riverains, restauration des secteurs encombrés.

– Blocage de la continuité écologique (circulation des espèces aquatiques et transport naturel des sédiments) : aménagements pour améliorer ou rétablir le franchissement piscicole au niveau des ouvrages, conseils dans la gestion de vannages pour réduire l’envasement, retrait et démantèlement d’obstacles et d’ouvrages illégaux ou obsolètes.

– Disparition des zones humides : lancement d’études inventaires et de diagnostic, sensibilisation, accompagnement dans la gestion de ces espaces sensibles.

– Pollutions diffuses : lutte contre l’érosion des sols (haies, agroforesterie, couverts végétaux), accompagnement des changements de pratiques agricoles, zones tampons, sensibilisation des communes et des entreprises.

L’ensemble de ces missions sont financées par les EPCI (Etablissement Public à Fiscalité Propre). Des subventions viennent compléter ce financement. Elles proviennent principalement de nos Partenaires financiers :

  • Agence de l’Eau Loire-Bretagne
  • Région Centre Val de Loire et fonds FEDER
  • Département d’Indre et Loire